
La Cité aux murs incertains (Murakami)
Est-ce que je suis de retour ? Pas si sûr… Il est des livres qui possèdent un début et une fin. On pousse la porte du premier chapitre et l’on ressort par le dernier. Dans « La Cité aux murs incertains » rien n’est aussi simple. Si les horloges et les montres n’ont plus d’aiguilles, les boussoles en sont -semble-t-il- également dépourvues. Temps et géographie ont définitivement perdu le nord. Les murs ont la bougeotte tandis que…